ornithoptera alexandrae

Birdwing de la Reine Alexandra (alexandrae d'Ornithoptera) est le plus grand papillon au monde.

Les espèces ont été appelées par seigneur Walter Rothschild en 1907, en l'honneur de la Reine Alexandra, épouse du Roi Edouard VII du Royaume-Uni. Le premier Européen pour découvrir les espèces était Albert Stewart doux en 1906, un collecteur employé par seigneur Walter Rothschild pour rassembler des spécimens d'histoire naturelle de Papouasie-Nouvelle Guinée. Bien que le premier spécimen ait été pris à l'aide d'un petit fusil de chasse, mortifiez bientôt découvert les parties et multiplié dehors la plupart des premiers spécimens. Il est limité aux forêts de province d'Oro en Papouasie-Nouvelle Guinée orientale.

Bien que la plupart des autorités classifient maintenant ce des espèces dans le genre Ornithoptera, il a été autrefois placé dans le genre Troides ou Aethoptera. Dans 2001 le lepidopterist Gilles Deslisle a proposé de le placer dans son propre sous-genre (que quelques auteurs ont traité comme genre) ; il a à l'origine proposé le Zeunera nommé, mais c'est un homonyme junior (avec Piton 1936 [orthoptères] de Zeunera), et son remplacement est Straatmana.

DESCRIPTION:
Birdwings de la Reine Alexandra féminine sont plus grand que des mâles avec des ailes nettement plus rondes et plus larges. La femelle peut atteindre une envergure de 31cm (pouces >14), une longueur de corps de 8 cm (3.2 pouces) et une masse de corps de jusqu'à 12 grammes (0.42 once), toutes les énormes mesures pour un papillon. La femelle a des ailes brunes avec les taches blanches et un corps crème avec une petite section de fourrure rouge sur son thorax. Les mâles sont plus petits que des femelles avec les ailes brunes qui ont des taches bleues et vertes iridescentes et un abdomen jaune lumineux. L'envergure des mâles est approximativement 20 cm, mais plus habituellement environ 16 cm. Une forme spectaculaire du mâle est l'atavus de forme, qui a des taches d'or sur les ailes de derrière.

Larves de cette alimentation d'espèces sur des vignes de pipe du genre Pararistolochia (Aristolochiaceae de famille), y compris le dielsiana de P. et le schlecteri de P. Ils alimentent au commencement sur le feuillage frais des hostplants et finalement du ringbark la vigne avant de pupating. Les plantes de la famille d'Aristolochiaceae contiennent les acides aristoloic dans leurs feuilles et tiges. On pense qu'est un poison vertébré efficace et est accumulé ceci par des larves pendant leur développement. Les adultes alimentent aux fleurs fournissant une large plate-forme pour les adultes à la terre dessus, y compris la ketmie.


BIOLOGIE:
Les configurations de Birdwing de la Reine Alexandra féminine environ 27 oeufs pendant sa durée de vie entière ; cette évaluation a été faite par Ray Straatman en disséquant les femelles adultes. Les larves nouvellement émergées mangent leurs propres coquilles d'oeuf avant l'alimentation sur le feuillage frais. La larve est noire avec les tubercules rouges et a une bande ou une selle crème au milieu de son corps. De larves le ringbark toujours la vigne de centre serveur avant de passer aux feuilles ou aux vignes adjacentes à devenir chrysalides, qui est jaune ou bronzage d'or en couleurs avec les taches noires. Des chrysalides masculines peuvent être distinguées par une correction faible de charbon de bois sur les caisses d'aile ; ceci devient une bande des balances spéciales dans le papillon adulte appelé une marque de sexe. Le moment pris pour le ce les espèces à se développer à partir de l'oeuf aux chrysalides est approximativement six semaines, avec l'étape pupal prenant un mois ou plus. Les adultes émergent des chrysalides tôt le matin tandis que l'humidité est encore haute, car les ailes emormous peuvent se dessécher avant qu'elles aient entièrement augmenté si l'humidité chute. Les adultes peuvent vivre pendant trois mois ou plus et avoir peu de prédateurs, à l'exclusion des araignées de tissage de grand corps rond (espèces de Nephila) et de quelques petits oiseaux.

Les adultes sont les insectes puissants les plus actifs en début de la matinée et encore au crépuscule quand ils alimentent activement aux fleurs. Les mâles patrouillent également des secteurs des usines de centre serveur pour les femelles nouvellement émergées tôt le matin. Les femelles peuvent être recherche vue des usines de centre serveur pour la majeure partie du jour. La cour est brève mais spectacular ; les mâles planent au-dessus d'un compagnon potentiel, les trempant avec un pheremone pour induire l'accouplement. Les femelles réceptives permettront au mâle de débarquer et appareiller, alors que les femelles peu réceptives voleront au loin ou décourageront autrement l'accouplement. Les mâles sont fortement territoriaux et verront outre des rivaux potentiels, chassant parfois de petits oiseaux aussi bien que d'autres espèces birdwing. Le vol est habituellement haut dans la verrière de forêt tropicale, mais le decend de les deux sexes à dans quelques mètres de la terre tout en alimentant ou pondant les oeufs bleus.


DES MENACES/
Le Birdwing de la Reine Alexandra est considéré mis en danger par l'IUCN , étant limité à approximativement 100 kilomètres carrés de forêt tropicale côtière près de Popondetta, province d'Oro, Papouasie-Nouvelle Guinée. Il est néanmoins abondant localement et exige la forêt tropicale de vieille croissance pour sa survie à long terme. La menace principale pour le ce des espèces est destruction d'habitat pour des plantations de palmier à huile. Cependant, il doit noter que l'éruption du bâti voisin Lamington dans les années 50 a détruit très des vastes zones de cet ancien habitat des espèces et est une raison principale de sa rarité courante.

Les espèces est également fortement estimée par des collecteurs, avec les spécimens illégalement commercés se vendant pour des milliers de dollars. Bien que des collecteurs soient souvent impliqués avec le déclin du ce des espèces, la destruction d'habitat est la menace principale. Collecteurs tôt, frustrés par la taille à laquelle les adultes volent pendant le jour, petits fusils de chasse employés souvent vers le bas aux spécimens. mais parce que les collecteurs exigent des spécimens de qualité pour leurs collections, la plupart des spécimens sont multipliés des larves ou des chrysalides.

Les espèces sont énumérées en tant que mis en danger sous l'annexe I de CITE, complètement limitant sa vente.

Quel dommage il est magnifique...